Ma Première Soumission et féminisation

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il y a 6 ans

Résumé Un homme rencontre une Maîtresse qui va le pousser dans la féminisation et dans la soumission via un chat webcam

Cette histoire débute il y a plus d'un an déjà. A l'époque, j'en avais alors exactement vingt et un. Comme beaucoup de jeunes hommes de cet âge, j'avais et j'ai toujours d'ailleurs, de nombreux fantasmes inassouvis dont les aspects pouvaient me mener sur des chemins divers et variés de la sexualité, du plus simple au plus audacieux. L'un de ces nombreux fantasmes, qui me rapproche de la majorité des hommes de mon âge, consistait à séduire des femmes plus âgées que moi, des femmes mûres comme on pourrait dire. J'aimais, suivant diverses circonstances, approcher ces dames mariées pour la plupart, leur parler tout en essayant de deviner ce qui se cachait sous leur jupes droites, et de savoir si le nylon qui recouvrait leurs jolies jambes était le prolongement d'un collant ou d'un bas plus sexy.

J'aimais sonder ces personnes, m'approcher au mieux de leur intimité. En outre, c'est à la même époque que se révélaient de plus en plus mes penchants fétichistes, je commençais à adorer admirer les femmes en jupes avec des talons ou des bottes, à fouiller dans les dessous d'amies ou dans ceux des mères de mes camarades chez qui j'allais plus souvent. Mes désirs évoluaient ainsi à mesure que mon âge avançait et l'un des moyens qui les comblait au mieux était le net.

Ainsi, j'allais de plus en plus souvent sur les chats réservés à des personnes dont l'âge se situait entre 40 et 50 ans, essayant à chaque fois de parvenir aux mêmes fins, à savoir, connaître au mieux l'intimité des dames avec lesquelles je discutais sans vergogne. Suivant mon envie je voguais sur des chats plus ou moins coquins et c'est à l'occasion d'une incursion sur un chat officiellement érotique que je rencontrai cette personne qui a tant bouleversé mes fantasmes. Elle se prénommait Emilie, elle avait 42 ans, était mariée et habitait en Bretagne du côté de Lorient.

Etant sur un chat , nous discutions assez aisément et il ne m'était aucunement difficile d'obtenir les renseignements tant escomptés. J'appris bien vite qu'elle aimait tout ce qui m'attirait chez les femmes de son âge, une beauté féminine, le goût de la belle lingerie et de tout ce qui s'y rapportait. D'ailleurs, notre conversation était fortement axée sur ce sujet et elle me posait de nombreuses questions sur mes goûts personnels. Elle comprit bien vite les penchants qui m'animaient et en joua par la suite. De mon côté, l'excitation me gagnait au fur et à mesure qu'Emilie me détaillait ce qu'elle portait sur le moment, elle était vêtue d'un porte-jarretelles rouge avec son string assorti, le tout accompagné de bas à larges dentelles, couleur cendre.

La discussion se prolongeait et entre deux frappes sur le clavier, ma main se posait facilement sur mon sexe qui devenait de plus en plus dur. Je me caressais déjà quand nous abordâmes la question de nos fantasmes respectifs. Elle me demanda quels étaient les miens. Je devais avouer que ces derniers m'envahissaient tellement j'en avais des différents. Elle me dit alors de lui dire sans réfléchir le premier qui me passait par la tête et là, je lui répondis ceci :

  • J'aimerais être soumis à une femme de ton âge, considéré comme un objet sexuel dont le seul but serait le plaisir et la découverte de terrains inconnus.

Elle semblait curieuse et on aurait dit que ma réponse la satisfaisait. Moi, à ce moment, j'avais peur de l'avoir choquée et de perdre la connexion avec elle. Elle reprit pourtant le dialogue sans laisser de pause à la suite de ma réponse franche. Elle me questionna de plus en plus voulant savoir si j'avais déjà été soumis à une femme, je lui répondis que non mais que si je le pouvais, j'essaierais en curieux. Il y eut un silence sur l'écran puis elle me demanda :

  • Tu aimerais que je te soumette ?

  • Volontiers, répondis-je, mais je ne l'ai jamais fait, je ne sais comment procéder, puis j'enchaînais sur une question : pourquoi ? Cela te plairait toi de me dominer et de faire de moi ton esclave ?

  • Oui, me répondit-elle, c'est une situation qui m'excite et mon mari ne veut pas ce genre de relation, il n'aime pas être soumis, quant à moi je suis de nature dominatrice.

Ma tension montait, je continuais de me caresser tout en discutant. Je savais que j'allais connaître quelque chose de nouveau, cela m'excitait et pourtant, j'étais loin de deviner ce qui m'attendait en réalité. Je lui demandais :

  • Alors ? Comment faisons-nous ?

  • Pour commencer, dit-elle, dès à présent, tu m'appelleras Maîtresse.

  • Oui Maîtresse, répondis-je surexcité par la situation. Je découvrais une excitation que je ne connaissais pas encore et cela me plaisait. Elle continua :

  • Bien, il me semble avoir remarqué que tu étais un grand fétichiste non ?

Lui ayant confié quelques minutes auparavant, mes escapades dans les armoires de mes tantes à la recherche d'une quelconque paire de bas, je ne pouvais que répondre par l'affirmative.

  • As-tu déjà porté des bas ? me demanda-t-elle.

  • J'avoue que non, même si cela m'a de nombreuses fois tenté, répliquais-je.

  • En as-tu en ta possession ?

  • Non Maîtresse, j'en suis désolé.

  • Dommage, répondit-elle...... Et ta mère ? Elle n'en porte pas ?

Je fus pris au dépourvu par cette question insolite mais je repris vite mes esprits. Je n'étais pas sûr de ma réponse mais il me semblait avoir vu traîner des bas dans la salle de bains par le passé. Je répondis :

  • Oui, il me semble qu'elle en porte.

  • Tu sais ce qu'elle porte d'autre ? continua-t-elle.

  • Seulement de ce que je vois sur le sol de la salle de bains le soir Maîtresse, répondis-je.

  • Elle porte des strings ?

  • Oui, j'en ai déjà vu, continuais-je.

Je commençais à cerner ce qui se profilait à l'horizon et je dois avouer qu'une partie perverse de ma personne s'éveillait dans le même moment. Je sentais ce sentiment grandir en moi comme une bouffée de chaleur quand ma Maîtresse reprit :

  • Tu es seul chez toi ?

  • Oui, dis-je. J'étais seul pour la journée entière et cette perspective m'enchantait de plus en plus.

  • Dans ce cas, reprit-elle à mon intention, nous allons procéder à ton éducation ma chérie. Tu vas aller chercher des sous-vêtements dans l'armoire de ta mère. Prends ce qu'il y a de plus sexy et surtout ne traîne pas. Allez dépêche toi.

  • Oui Maîtresse, répondis-je.

La situation me rendait fou, je voulais libérer mon sexe de son carcan et me masturber sans relâche jusqu'à la jouissance mais je savais que l'orgasme ne serait que meilleur si j'allais au bout de mon fantasme. Je descendis donc les marches qui me mèneraient à la chambre de ma mère tout en me masturbant au travers de mon pantalon. Arrivé devant l'armoire tant enviée, j'avais le souffle court mais je devais me presser, ma Maîtresse l'exigeait. Ce fût une surprise de découvrir ce que contenait l'armoire. Il y avait là en réalité, plus de lingerie que je n'aurais pu l'imaginer de la part de ma mère peut-être justement parce qu'elle m'était trop proche pour avoir oser y penser avant. J'oubliais un instant l'empressement pour admirer ce qui se trouvait devant mes yeux. Mon choix était difficile parmi cet étalage de strings, la diversité des bas et autres plaisirs pour un fétichiste dans mon genre. Il est vrai que la femme qui partageait mon toit était jolie et séduisante pour son âge mais je ne savais pas qu'elle était aussi raffinée dans ses choix. Je revins à moi et choisis rapidement l'ensemble que j'emprunterais à cette dernière. Mon dévolu se jeta dans un premier temps sur un string noir à dentelle puis sur une paire de bas couleur chaire. Mais ma Maîtresse ne m'avait-elle pas dit de prendre ce qu'il y avait de plus affriolant ?

Je laissai donc les bas autofixants pour une guêpière dont je ne soupçonnais pas l'existence avec une paire de bas noir à jarretelles, il s'agissait de bas très excitant pour un homme par leur large dentelle. Je gardai également le string puis je remontai rapidement vers le bureau où se trouvait l'ordinateur.

  • Me voilà Maîtresse, dis-je en me remettant face à l'écran.

  • Très bien, qu'as-tu pris dans l'armoire de ta mère ? reprit-elle.

  • Une paire de bas noirs à large dentelles avec une guêpière pour les accrocher et un string noir à dentelle.

  • Déshabille-toi maintenant, m'ordonna-t-elle.

Je m'exécutais en vitesse tant je m'empressais de la suite des évènements, puis, quand j'eus fini d'ôter mes vêtements, ma Maîtresse reprit :

  • Maintenant, habille toi de la lingerie que tu as prise dans l'armoire, je veux que tu ressembles à une petite salope pour moi.

  • Oui Maîtresse.

Je commençais à m'habiller et, à chaque vêtements que je passais, une bouffée d'excitation m'envahissait tant des sensations nouvelles faisaient jour en moi. Je mis les bas en premier et le contact du nylon qui me gainait les jambes manqua de me rendre fou, j'étais surexcité. Puis je passai le string. Un peu étroit vu la turgescence de mon sexe, la dentelle frottait contre la base de mon gland à for ce d'ondulations répétées tant je voulais jouir de plaisir. Mais ce qui était le plus fort à mon goût, ce fût le contact qu'il y avait entre la ficelle du string et mon anus. Je ne m'étais jamais caressé cette partie de mon corps et j'éprouvais une sensation nouvelle en sentant le tissu frottant sur mon orifice. Je finis par la guêpière qui me serrait la taille et me donnait l'impression plus grande encore d'être étreint par un corps musclé. Je n'avais jamais atteint un tel degré d'excitation, j'étais comme en transe, la tête tournante et l'esprit léger ouvert à toute éventualité.

  • Ca y est, je suis habillé Maîtresse, repris-je.

  • Et cela te fait quoi ?

  • Cela m'excite Maîtresse.

  • Tu bandes dans ton string petite traînée ?

  • Oui Maîtresse au maximum, répondis-je. Mon érection était puissante et déformait le tissu du string en dentelle, je croyais qu'il allait craquer.

  • C'est bien ma salope, reprit ma Maîtresse, tu te sens salope dis-moi ?

  • Oui.

  • Dis-le alors !

  • Oui Maîtresse, je suis votre salope qui porte cette lingerie comme une pute pour vous.

Maîtresse semblait apprécier la situation. Pour me récompenser, elle m'autorisa à me masturber un peu pour relâcher un peu la pression mais elle m'interdit de jouir, elle me réservait une fin plus grande encore. Puis, soudain, elle me demanda si je possédais un godemiché. Je lui répondis que non, elle semblait déçue et moi aussi, pourtant elle insista en me demandant, pour la prochaine rencontre virtuelle que nous pourrions avoir, de regarder à nouveau dans cette armoire où j'avais trouvé ma tenue si affriolante si un tel objet ne s'y trouvait pas. Je lui promis de procéder à la vérification dès le soir puis notre conversation se poursuivit.

  • T'es-tu déjà fait sodomiser auparavant ?

Je répondais que non et sans me demander si cela ma plairait ou non, il semblait convenu, dans l'esprit de ma Maîtresse, que cela ferait parti de mon apprentissage dans un avenir proche. Je dois avouer que tant d'inconnu ne faisait qu'accentuer ma curiosité et je fus déçu, sur l'instant, de ne pouvoir aller vérifier de suite s'il y avait ou non un godemiché dans l'armoire où j'avais pris la lingerie. Puis me vînt une idée. Sur le bureau se trouvait une bougie blanche dans son chandelier. J'en fis part à ma Maîtresse dont l'intérêt pour moi semblait renaître d'un coup. Elle me dit :

  • Bien, dans ce cas, prends la et lèche la.

  • Oui Maîtresse, répondis-je encore en m'exécutant. Je prenais la bougie dans ma bouche et la suçais comme l'aurait fait une femme d'un sexe masculin. Sur sa demande, j'alternais les mouvements en la mettant tantôt au fond de ma gorge et en la léchant de tout son long du bout de la langue.

  • Tu aimes ce que tu fais ? me demanda-t-elle.

  • Oui, j'adore cela, je la lubrifie bien.

  • Tu aimerais que ce soit une vraie bite pas vrai ? insista-t-elle.

  • Oui et que je la prenne au fond de ma gorge comme une pute.

Ma Maîtresse était de plus en plus satisfaite de mon comportement et, moi, je ne pouvais m'arrêter de fantasmer ainsi réduit et humilié comme un objet auquel on prodiguait des ordres obscènes.

  • Pour te récompenser, dit-elle, mets toi à quatre pattes.

Je m'exécutais avec plaisir. Elle continua :

  • Ecarte la ficelle du string et caresse-toi l'anus puis ensuite doigte-toi le cul avec deux doigts.

Je ne l'avais jamais fait mais, effectivement, cela m'apporta un grand plaisir et je ne voulais pas m'arrêter sauf pour voir ma Maîtresse m'écrire que je devais maintenant remplacer mes doigts par la bougie que j'avais encore à la main. Je posai donc le bout de la bougie sur mon orifice et l'enfonçai tout doucement. A ma grande surprise, la bougie n'eut aucun mal à rentrer et bientôt, les allez-venues étaient de plus en plus facile et agréables. Je sentais une chaleur m'envahir ainsi que des frissons qui me parcouraient l'échine, je pouvais comprendre, par l'aisance de mes mouvements, que j'étais carrément trempé de l'anus et cela pour mon plus grand bien. Je ne pouvais plus écrire mais les ordres continuaient de défiler à l'écran. Ma Maîtresse m'insultait de plus en plus et m'humiliait par ses paroles pourtant je m'y abandonnais.

  • Sale garce, je sais que tu aimes ça te faire prendre par le cul. Je t'imagine avec tes bas et ta guêpière, je connais plusieurs hommes qui remplaceraient volontiers la bougie que tu as dans ton con de salope.

Sur ces mots, sans m'en rendre compte et me laissant aller à la perversion, j'imaginais un homme musclé me prenant vigoureusement sans ménagement, son membre surdimensionné ne faisant qu'aller et venir dans mon fourreau, des pensées que je n'avais eu avant. En me pénétrant, je me masturbais de l'autre main au travers le string en dentelle noir. Cela dura quelques minutes puis ma Maîtresse m'ordonna de jouir.

  • Allez, maintenant je veux que tu jouisses en continuant de te sodomiser. Je veux que tu jouisses dans le string que tu portes ma chérie, me dit-elle.

J'en pouvais plus et accélérant ma masturbation manuelle, j'explosa littéralement dans le string que j'avais emprunté dans l'armoire. Je sentais des jets bouillants de sperme et ininterrompus se succéder dans la dentelle puis progressivement, ma respiration ralentissant, je repris mes esprits.

  • J'ai joui Maîtresse, repris-je.

  • Bien, alors maintenant retire le string et lèche le sperme que tu as joui pour moi

J'obéissais sans mot dire et j'étalais la sperme de ma langue sur ce string souillé. Mon sperme était épais et je le buvais par grosses gouttes. Le goût était spécial, un peu salé mais tant à l'image de ce que je venais de vivre, plein de perversion et d'humiliation. Cela m'avait plus.

Puis, sans plus grand épilogue, ma Maîtresse m'annonça :

  • C'est bien pour aujourd'hui petite pute. A partir de maintenant, tu seras mon esclave, ton prénom sera Julia. Donne-moi ton adresse e-mail que je puisse te donner des ordres quand bon me semblera.

Je lui fournis cette information en me demandant dès lors ce qu'il pourrait m'arriver bientôt vu l'imagination débordante de ma Maîtresse. Mon excitation remontait à cette perspective.

  • Très bien, dit-elle, je vais te laisser, et pour la prochaine fois, n'oublie pas de vérifier s'il n'y a pas un god plus gros qu'une simple bougie dans l'armoire de ta mère ou achète-toi en un. Tant que j'y pense, essaye de te fournir une webcam également que je puisse t'admirer habillée comme tu l'étais aujourd'hui.

Je lui gratifiai d'essayer de me procurer tout cela dans un avenir proche et la remercia pour les plaisirs qu'elle m'avait fait découvrir. Nous nous séparâmes sans plus de paroles. Je restai pendant quelques instants en réfléchissant à ce que je venais d'accomplir. Les bas recouvraient toujours mes jambes. Je me mis à les caresser puis je m'allongeai sur le sol tout en continuant, j'adorais le toucher électrique que provoquait le nylon sur le bout de mes doigts. L'excitation me gagna de nouveau et, c'est en pensant au prochain mail que je recevrais de ma Maîtresse, en imaginant ce qu'elle me réservait pour l'avenir, que je recommençai à me masturber........

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